Pourquoi la lecture de la Bonne Nouvelle serait-elle répétitive, ennuyeuse ou compliquée et finalement décourageante ?
La méthode de lecture des récits d’Évangile que propose ici Pierre MOITEL a le grand avantage d’être efficace. Elle demande surtout des yeux neufs, une bonne observation du texte et le goût de s’étonner, de s’interroger.
Puisque tout récit est une transformation, celui qui le lit est invité, lui aussi, à vivre une transformation : ce qu’il a compris de Jésus, ce qu’il vit de l’Évangile pourrait bien l’amener à bouger à son tour et l’entraîner à de passionnantes découvertes… comme le constatent ceux qui pratiquent cette lecture depuis une quinzaine d’années !
Cahiers Évangile n° 9368 pages, Éd. du Cerf/ SBEV, septembre 1995.
Sommaire
1ère étape : Un récit en quatre actes
2° étape : Trois outils de construction
– Un récit en mouvement; des données de lieux et de temps; une histoire de différences
3° étape : Les acteurs du récit
– Le héros; des rencontres et des séparations; des actes aux scènes
4° étape : Une construction mise à l'épreuve
– Les trois épreuves du héros; l'axe porteur de sens
5° étape : Des récits inscrits dans une histoire Extrait à lire
– Le contexte historique; le contexte biblique
Les récits étudiés dans ce Cahier :
Les Mages et Jésus (Mt 2,1-12)
Jésus et la belle-mère de Simon (Mc 1,29-31)
Jésus marche sur la mer (Mc 6,45-53)
Jésus et l'aveugle Bartimée (Mc 10,46-52)
Jésus et Zachée (Lc 19,1-10)
Jésus aux noces de Cana (Jn 2,1-11)
N.B. En complément, et du même auteur, voir le Cahier Évangile n° 98 : "De longs récits d'évangile. Construction et lecture".
