... avec tableau du Top 20 des animaux les plus cités dans l'AT

Le premier animal cité dans la Bible apparaît au cinquième jour de la création et se présente sous la forme d’un groupe : « Dieu dit : “Que les eaux grouillent d’un grouillement d’êtres vivants [shèrèç nèfèsh ẖayyâh] et que le volatile [‘ôf] vole au-dessus de la terre face au firmament du ciel.” / Dieu créa les grands monstres marins [hatannînîm hagedôlîm], tous les êtres vivants [kol nèfèsh haẖayyâh] et remuants [hârômèsèt] selon leur espèce [lemînéhèm], dont grouillèrent les eaux, et tout volatile ailé selon son espèce. Dieu vit que cela était bon. / Dieu les bénit en disant : “Soyez féconds et prolifiques, remplissez les eaux dans les mers, et que le volatile prolifère sur la terre !”  / Il y eut un soir, il y eut un matin : cinquième jour » (Gn 1,20-23).

Soutenant un immense arc qui relie l’archè et le télos, le jardin des origines et la ville messianique descendue du ciel, le dernier animal mentionné apparaît dans les lignes finales de l’Apocalypse, ouvrage qu’il serait d’ailleurs justifié de désigner comme « livre de l’Agneau » puisqu’il contient vingt-neuf des trente occurrences néotestamentaires du substantif arnion (agneau). Pourtant, le dernier à pointer son nez n’est pas cet agneau égorgé et vainqueur (voir 21,22.23.27 ; 22,1.3), mais le chien (juste avant l’épilogue) et il constitue, lui aussi, un collectif : « Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer, par les portes, dans la cité. / Dehors les chiens [kunes] et les magiciens, les impudiques et les meurtriers, les idolâtres et quiconque aime ou pratique le mensonge » (Ap 22,14-15).

Entre ces deux bornes, plus de 3 000 (± 3 100) références aux animaux – en comptant aussi bien les termes génériques (animal, bestiole, bête, etc.) que les noms d’individus – colonisent l’Ancien Testament, auxquelles il faut ajouter les quelques centaines (± 400) qui se baladent dans le Nouveau. Le tout, pour environ 170 espèces répertoriées. Des résultats plus précis sont délicats à obtenir, au moins pour les trois raisons suivantes :

1) un certain nombre d’animaux sont difficiles, voire impossibles, à identifier car ils n’apparaissent qu’une seule fois dans la Bible (hapax ; voir surtout les listes de Lv 11 et Dt 14). De plus, certaines espèces ont sans aucun doute disparu et nous resteront à tout jamais inconnues ;

2) d’autres animaux, habituellement désignés par un nom générique dans nos langues, se présentent sous des dénominations beaucoup plus diversifiées en hébreu. Le lion, par exemple, bénéficie de sept dénominations différentes dans la Bible ; idem pour les sauterelles et les antilopes bien plus bigarrées que ce que laisse entendre le langage commun. Faut-il donc les distinguer ou les fusionner ?

3) à l’inverse, des animaux que nous différencions assez spontanément dans la vie courante sont rassemblés sous des catégories englobantes. Le meilleur exemple est le cas du poisson qui, dans la Bible, n’est jamais identifié – sauf en tant que pur/impur (Lv 11) et masculin/féminin – alors qu’il y a fort à parier que, même dans l’esprit des écrivains sacrés, les espèces nilotiques que mangeaient les Hébreux en Égypte (Ex 7,18.21 ; Nb 11,5) étaient différentes du monstre méditerranéen qui engloutit le prophète Jonas (Jon 2,1) ou de celui du Tigre qui voulut croquer le pied de Tobie (Tb 6,3), sans parler des poissons du lac de Galilée dans le Nouveau Testament. Pour qui connaît la Bible, ce « désintérêt » pour la faune aquatique n’a d’ailleurs rien de surprenant. Il participe du sentiment général qu’entretient Israël, peuple fort peu marin, vis-à-vis de l’océan et des « grandes eaux » : un domaine hostile, effrayant et peuplé de monstres redoutables dont Dieu seul à la maîtrise, mais duquel l’homme fait bien de se tenir éloigné (Ps 104,25-26 ; 107,23-27 ; etc.).

Compte tenu de ces données statistiques et de la pléthore d’occurrences animalières, il ne pourra évidemment pas être question – dans les limites de ce Cahiers Évangile – de présenter en détail tout le bestiaire biblique (pour compenser ce manque, voir le « Top 20 des animaux les plus cités dans l’Ancien Testament » à la fin de cette introduction). Dans un tour d’horizon, forcément trop rapide, nous nous limiterons à essayer de découvrir les différentes places et fonctions qu’occupent les animaux dans le récit biblique, en espérant ainsi convaincre le lecteur que pour comprendre ces rôles variés, celui-ci ne doit pas seulement connaître le récit biblique, mais qu’il gagne aussi à acquérir une certaine familiarité avec « nos amies les bêtes ». Notre parcours se déroulera en trois étapes :

1) les animaux dans le projet créateur ;

2) les animaux dans le système législatif (protection et casherout) et cultuel (sacrifice) ;

3) les animaux comme modèles, source d’inspiration pour l’homme et matériau symbolique.

Tableau

Top 20 des animaux les plus cités dans l’Ancien Testament

Ce tableau ne reprend pas les catégories génériques comme « animal », « bête », « bestiaux », « bête sauvage », « gros bétail », « petit bétail », « poisson », « oiseaux », etc.

Les animaux sont classés selon un ordre quantitatif décroissant. Le chiffre correspond au nombre d’occurrences. Toutes les informations (traduction, translittération et nombre d’occurrences) sont reprises de la Concordance de la TOB (Paris, 1993). Une partie des notes s’inspire du site du service biblique catholique Évangile et Vie : /cahiers-evangile/le-bestiaire-de-la-bible.

Bélier hébreu : ‘ayil 161Fait partie du « petit bétail » (çô’n) dont l’élevage constitue une des activités principales de l’Israël biblique. Un midrash rapporte que si Dieu a confié son peuple à Moïse, c’est parce que ce dernier avait témoigné de la compassion pour une bête de son troupeau (Exode Rabbah, 2 ; voir 2 S 7,8 à propos de David). Le bélier est mentionné pour l’holocauste (Ex 29,15-18 ; Lv 9 ; 16), mais aussi pour le sacrifice de réparation (Lv 19,20-22). C’est lui qu’Abraham offre à la place d’Isaac (Gn 22,13). C’est de sa corne que l’on fait le shofar (instrument dans lequel on sonne lors de certaines fêtes, voir Ex 19,16-19). Dans une vision de Daniel, il représente l’Empire perse défait par les Grecs (Dn 8).
Cheval hébreu : soûs 138[Hippos dans le NT.] Le cheval est mentionné pour la première fois dans la Bible dans les bénédictions de Jacob (Gn 49,17). Il n’a en général pas bonne réputation en Israël, car il incarne la force militaire, celle des Égyptiens (Ex 15,1) ou celle de Sissera (Jg 4,15). Sa description comme animal de guerre est superbe (Jb 39,19-25). Salomon les a fait venir de Turquie pour en doter son armée (1 R 10,26-29), mais cette puissance dont le roi doit limiter le nombre (Dt 17,16) s’oppose souvent à la confiance en Dieu (Ps 20,8-9). La vision des quatre chars de Zacharie (6,1-8) est reprise dans l’Apocalypse où elle annonce les fléaux sur la terre (6,2-8). Le Messie, monté sur un âne, supprime chevaux et chars de guerre (Za 9,8-10 ; voir Mt 21,2-9). Le Verbe victorieux monte un cheval blanc (Ap 19,11-13).
Taureau, bœuf hébreu : par 133[Tauros dans le NT.] Fém. : pârâh (= « vache », 26 x). Appartient au « gros bétail » (baqar), plus rare que le « petit bétail » en Israël. Symbole de puissance et de fertilité. Il est utilisé pour le labourage, le battage et comme bête de somme. On consomme sa viande et on transforme sa peau et ses cornes. Il peut aussi être offert en sacrifice (holocauste en Lv 23,18-20 ; sacrifice de purification en Lv 4,3-12).
Agneau, brebis, mouton hébreu : kèvès ou kèsèv 120L’agneau, dans la Bible, est un symbole privilégié. Modèle de douceur, d’innocence et de docilité, l’agneau représente l’Israélite qui appartient au troupeau de Dieu (Is 40,11). On retrouve la même image dans les évangiles de Luc et de Jean. Il est la victime sacrificielle par excellence (holocauste, sacrifice de purification, sacrifice de réparation, sacrifice pascal). C’est son sang sur les portes des Hébreux qui les protégea quand Dieu frappa tous les premiers-nés du pays d’Égypte (Ex 12,21-27). Lors de la fête de Pâque, l’agneau doit être mangé en famille, dans une même maison, et sans qu’aucun de ses os ne soit brisé (Ex 12,46). Jésus, présenté parfois comme étant « l’agneau de Dieu » (Jn 1,29), choisit de mourir au moment où l’on immolait les agneaux (voir Jn 19,14.36). Il devient le nouvel agneau pascal (Ac 8,32 reprenant Is 53,7) qui, par son sang, conclut la nouvelle alliance entre Dieu et les hommes. Par là, il deviendra l’agneau glorieux, vainqueur de la mort et des forces du mal.
Âne hébreu : hamôr 98[‘onos dans le NT.] Utilisé comme bête de somme et moyen de transport, c’est un animal obstiné et résistant aux conditions désertiques qui occupe une place très importante dans l’Israël ancien. Il était signe de richesse : les patriarches (Gn 22,3), les chefs de guerre, les princes (Jg 5,10) et les rois le montaient. Mais à l’époque de Jésus, les grands de la terre ne montent plus des ânes, mais des chevaux. D’où ce symbolisme très fort lorsque Jésus entre à Jérusalem sur un âne (Lc 19,33-35) : ce Messie modestement monté sur un âne n’est pas un guerrier ou un souverain temporel : sa royauté n’est pas de ce monde (voir Za 9,9). Le père de Sichem le Hivvite, celui qui a violé Dina, fille de Jacob, se nomme Hamor (Gn 34). La tribu tranquille d’Issachar est comparée à un âne : « Issakar est un âne [ẖamôr] robuste qui se couche dans un parc à double mur » (Gn 49,14).
Lion hébreu : ‘areyéh ou ‘arî 80[Léôn dans le NT.] Le lion était assez commun en Israël (désert de Juda et du Néguev, plaine du Jourdain) et ce, jusqu’à l’époque des croisades. À cause de sa force proverbiale (Pr 30,30), ne peuvent le combattre que des hommes courageux comme Samson (Jg 14,5-18) ou David (2 S 17,34-37). On lui compare Juda ou le Messie (Gn 49,9) et Dieu lui-même (Os 5,14 ; Am 3,8). Mais il peut aussi symboliser les ennemis (Ps 7,3 ; 2 Tm 4,17), les dangers de la vie (Ps 91,13) et même le démon (l P 5,8). Daniel dans leur fosse représente le Juif délivré des païens par Dieu (Dn 6 et 14,23-42). Il symbolise la tribu de Juda : « Tu es un lionceau [gûr aryéh], ô Juda, ô mon fils, tu es revenu du carnage ! Il a fléchi le genou et s’est couché tel un lion [aryéh] et telle une lionne [lâvî’], qui le fera lever ? » (Gn 49,9).
Bœuf, taureau hébreu : shôr 79Avec l’âne, c’est l’animal de trait du cultivateur, tels Saül (1 S 11,5-7) ou Élisée (1 R 19,20-21). Pour lui aussi, le sabbat est jour de repos (Dt 5,14 ; Lc 13,15). Les lois anciennes prévoient les cas où le bœuf est cause ou objet de délits (Ex 21,28 – 22,14). Quand on le fait travailler, on ne doit pas le museler (Dt 25,4 ; voir 1 Co 9,9). Il était vendu près du Temple comme animal de sacrifice (Jn 2,14-15).
Chèvre, chevreau, bouc hébreu : éz 75Animal domestique, pur et sacrifiable (holocauste en Lv 1,10-13). Part importante du troupeau, appréciée pour son lait, sa viande et sa peau. En même temps, c’est un animal « prédateur » qui peut détruire des forêts, faire écrouler des terrasses, accélérer l’érosion des sols. D’où un avertissement des sages dans le Talmud (Sukkot, 29a).
Bouc hébreu : sa’îr 57Animal reproducteur, le bouc est précieux et peut être offert en sacrifice. À la fête de Kippour, un bouc est sacrifié en expiation, tandis qu’un autre (le fameux « bouc émissaire ») emporte au désert les fautes du peuple (Lv 16,8-10). Le sang des boucs, comme celui des taureaux, est censé obtenir l’absolution des péchés (Ps 50,13), ce que conteste le NT (He 10,4). Fém. : se’îrâh (= « chèvre », 2 x).
Chameau hébreu : gâmâl 54[Kamèlos dans le NT.] On l’imagine souvent comme bête de somme ou monture des patriarches (Gn 24,10.61 ; 37,25), mais il semble que le chameau à une bosse (le dromadaire) ne soit apparu au Proche-Orient que vers le xiie siècle av. J.-C., remplaçant l’âne pour le commerce caravanier (1 R 10,2). Job en possède des milliers (1,3 ; 42,12) ! La reine de Saba rend visite à Salomon avec des chameaux chargés d’aromates (1 R 10,2). Comme le sabot fendu de ce « ruminant » est recouvert d’une semelle de corne, il est déclaré impur (Lv 11,4). Jean Baptiste porte une tunique en poil de chameau (Mt 3,4). Des proverbes parlent du chameau (Mt 19,24 ; 23,24).
Agneau, brebis, mouton hébreu : sèh 47Autre type de « petit bétail », pas toujours facile à distinguer des autres (kèvès, raẖel, etc.).
Moineau, oiseau, passereau hébreu : çippôr 40Il est craintif (Os 11,11), il chante (Qo 12,4), on l’attrape au filet (Am 3,5), on le vend pour quelques piécettes (Mt 10,29). La femme de Moïse s’appelle Çippora (Ex 2,21 ; 4,25 ; 18,2).
Ver, vermine, larve hébreu : tôlé’âh, tôla’at 40Le mot hébreu désigne à la fois le ver, la chenille et la larve, car ils peuvent tous faire périr les végétaux, tel le ricin de Jonas (4,7) ou les vignes (Dt 28,39). Le ver symbolise la mort et le cadavre (Is 14,11 ; Si 10,11 ; 19,3) ; il ronge déjà l’impie encore vivant (2 M 9,9-10). Avec le feu, il évoque l’enfer (Mc 9,48). A donné le nom « cramoisi ».
Taurillon, veau hébreu : ‘égèl 35Pour les éleveurs de « gros bétail », le taureau est l’animal le plus précieux. Son offrande en sacrifice est donc la plus coûteuse (Ps 51,21 ; 50,9.13). Il symbolise la virilité (Gn 49,6), la force brutale des ennemis (Ps 22,13) et même la puissance divine (Gn 49,24 ; Is 1,14), d’où l’image (ironique ?) du « veau d’or » (1 R 12,28). Il est l’un des quatre Vivants de la vision d’Ézéchiel (1,10), reprise en Ap 4,7. Fém. : ‘ègelâh (= génisse, 12 x)
Ânesse hébreu : ‘âtôn 34Voir Âne, ẖamôr (ci-dessus).
Chien hébreu : kèlèv 32Le chien n’a pas bonne presse dans la Bible : il fait du bruit (Ps 59,7), se nourrit de déchets et de charognes (Ex 22,30) et attaque les voyageurs (Ps 22,17). Il est impur. Son nom est même une injure (2 S 3,8 ; 16,9). Il ne devient compagnon de l’homme qu’à l’époque hellénistique (Tb 6,1 ; 11,4), venant manger les miettes de la table (Mt 15,26-27). Jézabel est dévorée par des chiens (2 R 9,36). Un des espions envoyés par Moïse pour explorer la Terre promise s’appelle Caleb (Nb 13–14).
Colombe, pigeon hébreu : yônâh 33À la fin du déluge, elle ramène à Noé un rameau d’olivier (Gn 8,8-12). Elle fait son nid dans les rochers (Jr 48,28 ; Ct 2,14) ; on lui compare les yeux de la Bien-Aimée (Ct 1,15). Les pauvres pouvaient l’offrir en sacrifice (Lc 2,24), d’où les vendeurs de colombes près du Temple (Jn 2,14). C’est à elle que ressemble la manifestation de l’Esprit saint dans le récit du baptême de Jésus (Lc 3,22), selon une symbolique obscure et discutée. Éphraïm est comparé à une colombe (Os 7,11). Le prophète Jonas lui doit son nom.
Lion, lionceau, tigre hébreu : kefir 31Voir Lion, ‘areyéh (ci-dessus).
Bouc hébreu : ‘attoûd 29Voir Bouc, sa’îr (ci-dessus).
Aigle, vautour hébreu : nèshèr 26Jusqu’à une certaine époque, l’un des oiseaux les plus fréquents en Israël. II est impur car il se nourrit de charognes, mais on vante ses qualités (Jb 39,27-30 ; 2 S 1,23). On lui compare Nabuchodonosor (Ez 17) et même le Dieu de l’Exode qui emporte son peuple sur ses ailes (Ex 19,4). C’est l’un des quatre Vivants de la vision d’Ezéchiel (voir p. 00).

De « abeille » à « zèbre », il ne vous en reste plus que 150 à trouver !

Quelques remarques :

Les passages bibliques à forte concentration animale sont : Lv 11 // Dt 14 (liste d’animaux purs et impurs, avec de nombreux hapax) ; Is 34-35 (jugement contre Édom) ; Jb 38-40 (la « ronde des animaux » en réponse à la protestation de Job ; voir p. 00) ; Ps 104 (les splendeurs de la création ; voir p. 00).

Les récits qui font intervenir des animaux (hormis ceux dont on parlera dans ce Cahier) : le sacrifice d’Isaac (Gn 22) ; Moïse et le veau d’or (Ex 32) ; le serpent d’airain (Nb 21) ; Samson et le lion (Jg 14) ; Samson et les renards (Jg 15) ; les singes de Salomon (1 R 10,22) ; les deux ourses d’Élisée (2 R 2) ; Daniel dans la fosse aux lions (Dn 6) ; Jonas et la « baleine » (Jon 2) ; le chien (et le poisson) de Tobie (Tb 6 ; 11) ; la colombe du baptême de Jésus (Mt 3 ; Mc 1) ; la pêche miraculeuse (Lc 5) ; le bon pasteur (Jn 10) ; l’entrée de Jésus à Jérusalem (Lc 19) ; le reniement de Pierre (Mc 14 ; Mt 26) ; etc.

Certains personnages bibliques portent le nom d’animaux. D’après Ingrid Glatz (« Des noms d’animaux comme noms de personnes », dans Othmar Keel et Thomas Staubli, Les Animaux du 6e jour, Fribourg [Suisse], Éditions universitaires, coll. « Musée Bible+Orient », 2003), on a trouvé – sur les sceaux de la période biblique et dans le texte biblique lui-même – 74 noms d’animaux utilisés comme noms de personnes.

Liste des animaux de la Bible : http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_animals_in_the_Bible.